Nathalie SAVARIAUD - Pays Basque Excellence
Distinguée au titre de sa noblesse de cœur, pour sa force personnelle communicative, pour sa féminité naturelle, et pour avoir Créé Life is Rose, une association pour les femmes atteintes de longue maladie.

Notre hommage : Si Oprah Winfrey était une Basque, ou si Nathalie Savariaud était une Américaine, nul doute que la première inviterait la seconde sur le plateau de sa célèbre émission, son talk-show qui fait et défait les succès…

Car Nathalie Savariaud est à l’origine d’une initiative bouleversante, Life Is Rose, une association qui aide financièrement les femmes atteintes d’un cancer, et qui doivent faire face à une multitude de dépenses quand cette garce de vie vous laisse KO, avec vos doutes sur l’avenir, des enfants à aimer que vous êtes terrifiée de ne pas voir grandir, et parfois un conjoint qui vous quitte, dépassé par la maladie et tout ce que cela implique tant physiquement, qu’émotionnellement, et psychologiquement… Bien entendu, une majorité de couples font face avec beaucoup d’amour, mais pour certaines femmes, la maladie est le coup de grâce qui vous enlève vos espoirs et même souvent, une partie de votre féminité…

Nathalie a été frappée par la maladie, et elle sait ce que cette “salope” peut faire dans une vie, un couple, une bande d’amies… Mais loin de se résigner, car elle et ses complices font partie des êtres lumineux que porte notre planète, ces justes qui sauvent des vies en temps de guerre, mais aussi en temps de paix, elle a décidé de donner du sens à cette cruelle expérience, pour faire que celles qui suivront, ces amazones à qui le crabe a pris un sein, ou un organe, ne se retrouvent pas perdues dans un océan de problèmes, mais trouveront une île où la vie est plus rose, avec des femmes comme elles, scarifiées, amputées, blessées, mais vivantes et plus fortes qu’avant, qui pourront les soutenir, les accompagner à travers les sanglots et les peines, les douleurs et les pertes d’espoir, jusqu’à ce que dans la plupart des cas, le soleil perce à nouveau le ciel des lendemains.

Mesdames, je suis un homme, et je parlerai au nom des miens, car rarement les hommes expriment leurs sentiments profonds, enfouis sous des amas de muscles, de postures et de clichés… Sachez que de toutes vos beautés, celles qui nous touchent le plus, sont celles de cette nature profonde qui vous porte à être meilleures que nous, à prendre soins de nos enfants, à soigner nos malades, à rester dignes quand les mâles, eux, perdent leur sang froid.

Nous savons bien au fond de nous que vous portez une grâce que nous n’aurons jamais, et que si nous sommes meilleurs au combat, guerrier ou professionnel, encore que… Meilleurs quand il s’agit de détruire des trucs ou de faire semblant d’être forts, vous nous battez sur la distance dans presque tous les autres domaines, spécialement ceux qui concernent la préservation de la vie, du lien humain et de l’harmonie, et ce, avec une humilité dont nous sommes rarement capables, qui plus est, car nous sommes éduqués, nous, pour fanfaronner, bomber le torse et retenir nos larmes, même de bonheur.

Les héroïnes d’aujourd’hui sont ces femmes, malades ou pas, qui continuent à élever leurs enfants, seules, quand monsieur quitte le foyer en négligeant leur progéniture, ou en oubliant de payer leur pension ou leurs contributions aux dettes du ménage qu’ils ont abandonné… Et le fait qu’ils le fassent souvent pour une autre femme ne les excuse pas de manquer à leurs devoirs, à leur honneur, et de faire peser sur leur ancien amour, la double peine d’être quitté et de devoir payer toutes les factures.

Merci donc Dame Savariaud d’avoir transformé votre douleur en un mouvement d’espoir, et de tendre la main à travers votre association, à d’autres femmes, quand la vôtre peut être, alors que vous traversiez le désespoir, n’a pas trouvé la main, masculine ou féminine, dont vous auriez rêvée…

Désormais, grâce à vous et aux amazones passionnées de votre Life Is Rose, plus aucune femme ne devrait se perdre en mer, en voulant quitter les continents de l’insoutenable douleur de n’être plus une femme, seulement une maladie, quand tout en vous crie que vous l’êtes encore.

© Franck Sallaberry pour l’Institut Pays Basque Excellence.

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